Tournesac jonathan
TPE : La vieillesse est-elle impliquée dans la problématique "génération"?
Pour commencer nous allons tout d'abord définir les thermes qui se trouvent dans la question « La vieillesse est-elle impliquée dans la problématique "génération"? » La vieillesse se définit comme étant la dernière phase de la vie de l'être humain succédant a la maturité. La problématique « génération » se compose de quatre rubriques et la deuxième « Qui définit les génération ? » met en relation la problématique « génération » et la vieillesse. Nous allons donc examiner la relation qu'il y a entre ces deux termes du sujet.Il est vrai que lorsqu'on se demande « qui définit les générations? » la première catégorie de personne a qui l'ont pense sont les vieux car pour la plupart des gens les vieux sont plus « sage » et plus « compétant » mais ce n'ai pas forcement vrai car définir une génération semble plus compliqué qu'il n'y paraît. En effet on peut de façon rationnelle se baser sur la différence d'âge mais alors on risque de mettre de côté les modes de vie et les facteurs sociaux. On peut également se pencher sur le sentiment de partage de la même vision du monde à un moment clé de l'histoire. Tant de différences qui à terme peuvent entraîner des scissions, des incompréhensions ou encore des difficultés de dialogue; et cela les vieux ne s'en rendent pas forcement compte . De plus , si des efforts sont concédés, si une remise en question du passé est possible mais surtout si une évaluation des besoins réels des générations existantes et à venir est effectuée, les générations pourront être définies mais elles pourront également coexister.ON peut donc en conclure que même si pour beaucoup les vieux sont en mesure de définir les génération, il n'ai pas facile d'être forcement d'accord car il existe des différence apparente entre les vieux et les « nouvelle génération » ou les jeunes.
lundi 21 décembre 2009
Résumé d'exposé sur la génération nazie (Cyrille CALLANQUIN-TS1B)
La génération nazie
On peut désigner par le terme de « génération nazie » l’ensemble de tous les nazis proprement dits, c’est-à-dire les membres officiels du parti nazi, les SS, la Gestapo…, et des sympathisants au nazisme, c’est-à-dire ceux qui, sans adhérer au parti ou à une organisation particulière, étaient favorables au nazisme. En quoi cette « génération nazie » est-elle représentative du phénomène des générations et des relations intergénérationnelles? Pour répondre à cette question, on peut d’abord rappeler brièvement ce qu’était le nazisme pour ensuite rechercher ce qui était à l’origine de cette génération. Enfin, on s’intéressera aux relations de celle-ci avec les générations suivantes.
Le nazisme (ou national-socialisme) était l’idéologie du NSDAP (ou parti nazi) fondé par Adolf Hitler en 1920. Elle reposait sur des théories nationalistes et racistes : d’après le nazisme, l’humanité est divisée en races dont l’une, la race aryenne, est la race supérieure, alors que les autres races doivent être soit éduquées, soit exterminées. Le régime nazi, progressivement mis en place à partir de l’accession d’Hitler au pouvoir en 1933, était un régime totalitaire, c’est-à-dire un régime n’admettant qu’un parti unique (le parti nazi), pratiquant le culte du chef et éliminant tous ses opposants par la force. Il s’appuyait pour cela sur des organisations idéologiques telles que les SA, les SS et la Gestapo.
Devant ce bref rappel de ce qu’était le nazisme, on peut se demander comment une telle idéologie, radicalement raciste et violente, a pu être le fondement de toute une génération. Si Hitler est arrivé de façon tout à fait légale au pouvoir, c’est sans doute grâce à son habileté à utiliser le contexte historique de l’époque à son avantage. En effet, nombre d’Allemands étaient mécontents de l’armistice qui avait mis fin à la première guerre mondiale, du traité de Versailles qui imposait à l’Allemagne le payement de réparations, ainsi que de la situation économique difficile dans le pays (dont la responsabilité était alors attribuée aux Juifs). Or Hitler prévoyait justement dans son programme électoral la suppression du traité de Versailles et affichait clairement son antisémitisme. Ce contexte historique explique donc l’arrivée d’Hitler au pouvoir et la formation de ce que l’on pourrait appeler la « génération nazie », bien que, dans cette génération, il y avait sans doute bien plus de personnes intéressées par les réformes socialisantes du parti nazi que par l’extermination des « races inférieures ».
Enfin, quelle a été le devenir de cette « génération nazie » et son rapport avec les générations suivantes? Si, d’une part, de nombreux sympathisants au nazisme ont reconnu leurs erreurs en apprenant par exemple ce qui s’était produit dans les camps de concentration et d’extermination, d’autres sont restés fidèles à leur idéologie. De même, parmi les générations suivantes, il y a eu une opposition entre les descendants de nazis, fiers de leurs ancêtres, et ceux qui ont été horrifiés par les atrocités commises et qui ont rejeté le nazisme, désirant oublier cette période de l’Histoire ou culpabilisant leurs ancêtres.
Pour conclure, on peut donc dire que la génération nazie illustre bien le phénomène des générations : elle correspond à un groupe d’individus partageant les mêmes idéaux, à une période précise de l’Histoire et s’inscrit dans un contexte bien particulier (ici, défaite de 1914-1918, traité de Versailles, période de difficultés économiques et montée de l’antisémitisme). Elle met aussi en évidence les deux principaux types de relations intergénérationnelles : relation de transmission d’héritage (avec les néo-nazis) et relation conflictuelle (avec les descendants reniant leurs ancêtres).
Remarque : La seule ambiguïté à propos de l’appellation « génération nazie » serait sa durée. La durée définie pour une génération est d’environ 30 ans, alors qu’ici, la génération nazie pourrait être considérée comme allant des années 1880 jusqu’à 1945…
Sources : Wikipédia
Livre La seconde guerre mondiale – Editions Gallimard
On peut désigner par le terme de « génération nazie » l’ensemble de tous les nazis proprement dits, c’est-à-dire les membres officiels du parti nazi, les SS, la Gestapo…, et des sympathisants au nazisme, c’est-à-dire ceux qui, sans adhérer au parti ou à une organisation particulière, étaient favorables au nazisme. En quoi cette « génération nazie » est-elle représentative du phénomène des générations et des relations intergénérationnelles? Pour répondre à cette question, on peut d’abord rappeler brièvement ce qu’était le nazisme pour ensuite rechercher ce qui était à l’origine de cette génération. Enfin, on s’intéressera aux relations de celle-ci avec les générations suivantes.
Le nazisme (ou national-socialisme) était l’idéologie du NSDAP (ou parti nazi) fondé par Adolf Hitler en 1920. Elle reposait sur des théories nationalistes et racistes : d’après le nazisme, l’humanité est divisée en races dont l’une, la race aryenne, est la race supérieure, alors que les autres races doivent être soit éduquées, soit exterminées. Le régime nazi, progressivement mis en place à partir de l’accession d’Hitler au pouvoir en 1933, était un régime totalitaire, c’est-à-dire un régime n’admettant qu’un parti unique (le parti nazi), pratiquant le culte du chef et éliminant tous ses opposants par la force. Il s’appuyait pour cela sur des organisations idéologiques telles que les SA, les SS et la Gestapo.
Devant ce bref rappel de ce qu’était le nazisme, on peut se demander comment une telle idéologie, radicalement raciste et violente, a pu être le fondement de toute une génération. Si Hitler est arrivé de façon tout à fait légale au pouvoir, c’est sans doute grâce à son habileté à utiliser le contexte historique de l’époque à son avantage. En effet, nombre d’Allemands étaient mécontents de l’armistice qui avait mis fin à la première guerre mondiale, du traité de Versailles qui imposait à l’Allemagne le payement de réparations, ainsi que de la situation économique difficile dans le pays (dont la responsabilité était alors attribuée aux Juifs). Or Hitler prévoyait justement dans son programme électoral la suppression du traité de Versailles et affichait clairement son antisémitisme. Ce contexte historique explique donc l’arrivée d’Hitler au pouvoir et la formation de ce que l’on pourrait appeler la « génération nazie », bien que, dans cette génération, il y avait sans doute bien plus de personnes intéressées par les réformes socialisantes du parti nazi que par l’extermination des « races inférieures ».
Enfin, quelle a été le devenir de cette « génération nazie » et son rapport avec les générations suivantes? Si, d’une part, de nombreux sympathisants au nazisme ont reconnu leurs erreurs en apprenant par exemple ce qui s’était produit dans les camps de concentration et d’extermination, d’autres sont restés fidèles à leur idéologie. De même, parmi les générations suivantes, il y a eu une opposition entre les descendants de nazis, fiers de leurs ancêtres, et ceux qui ont été horrifiés par les atrocités commises et qui ont rejeté le nazisme, désirant oublier cette période de l’Histoire ou culpabilisant leurs ancêtres.
Pour conclure, on peut donc dire que la génération nazie illustre bien le phénomène des générations : elle correspond à un groupe d’individus partageant les mêmes idéaux, à une période précise de l’Histoire et s’inscrit dans un contexte bien particulier (ici, défaite de 1914-1918, traité de Versailles, période de difficultés économiques et montée de l’antisémitisme). Elle met aussi en évidence les deux principaux types de relations intergénérationnelles : relation de transmission d’héritage (avec les néo-nazis) et relation conflictuelle (avec les descendants reniant leurs ancêtres).
Remarque : La seule ambiguïté à propos de l’appellation « génération nazie » serait sa durée. La durée définie pour une génération est d’environ 30 ans, alors qu’ici, la génération nazie pourrait être considérée comme allant des années 1880 jusqu’à 1945…
Sources : Wikipédia
Livre La seconde guerre mondiale – Editions Gallimard
jeudi 17 décembre 2009
Résumé de l'exposé : Génération Nazi. Kurban Osman (TS1B)
Génération Nazi :
Un Nazi est une personne faisant parti des SS, Gestapo ...
La génération Nazi s'étenda de 1920 à 1945; ce fût une période noire de l'histoire.
Il y eût des millions de morts, certains étaient tués, torturés, d'autres exploités dans des camps de concentration, puit y mourraient peut après.
Cette période est carractérisée par des massacres, des dégats, de l'horreur et de la honte.
Ce mouvement est parti d'un homme en particulier, Hitler. Il fût nommé Chancelier d'allemagne en 1933 suite à une situation économique difficile en partie a cause des juifs.
samedi 12 décembre 2009
Résumé de l’exposé LES VIEUX EN FRANCE
LES VIEUX EN FRANCE
En France, les personnes âgées ayant dépassé la soixantaine représentent 30% de la population, ces derniers sont souvent mis en marge de la société. Notre question est en effet, quels problèmes pose la génération des seniors en France ?
La chose la plus importante que nous perdons avec l’âge est bien la capacité et la performance physiques, malgré toutes nos crèmes revitalisantes et toutes nos séances de sport nous auront de vilaines rides, une peau molle et flasque et nous pourrons plus êtres indépendants et vivre sans avoir besoin d’une aide permanente de la part des plus jeunes, Nous perdons également quelques capacités mentales, le réflexe par exemple. Mais il y’a aussi des points positives car avec l’âge on acquiert beaucoup de choses, le plus grand acquit reste l’expérience car tous les problèmes que rencontrent les jeunes aujourd’hui, les personnes âgées les ont rencontrés bien avant eux.
Rappelez-vous quel était la place du grand père dans nos campagnes avant l'industrialisation du XIXe, C'était le chef de famille, mais avec l'émancipation des jeunes qui sont allés en villes, des femmes qui se sont mises à travailler, l’enfant est devenue le roi. Toutes les valeurs se sont inversées, mais après cette évolution négative les personnes âgées retrouvent doucement une bonne place dans la société.
En effet, les seniors représentent à la fois un avantage et un inconvénient pour la société. Ils ralentissent le développement du pays, ce sont des consommateurs qui ne produisent pas, de plus l’Etat dépense des sommes très importantes pour s’occuper de ces derniers. Toutefois, les personnes âgées nous guident dans notre vie, nous conseillent et nous permettent de mieux avancer, ils jouent également un rôle très important dans la société, celui de transmettre aux plus jeunes les traditions et les coutumes et même l’Histoire.
Les personnes âgées posent beaucoup de problèmes en France, leurs prise en charge est très coûteuse pour l’Etat et pour leur famille, leurs inactivité représente un handicape pour l’Etat, ainsi que tous les problèmes entre les seniors et les jeunes à cause de la discrimination et les grandes différences de pensées.
BENDJAEL Abdessalem
jeudi 10 décembre 2009
TEP
TEP : La vieillesse est-elle impliquée dans la problématique "génération"?
Tout d'abord on commence par définir les mots clés du sujet .
Exemple :
Vieillesse : dernière phase de la vie humaine succédant à la maturité.
Ensuite on essai de mettre en relation les deux termes du sujet. Pour cela on cherche dans les quatre rubriques qui la composent.
_ 1 ère rubrique : La vieillesse est en relation avec cette rubrique. En effet, elle peut être un critère de définition d'une génération. C'est un critère relatif. Il n'a pas de valeur absolue à la différence de critères historiques.
_2 ème rubrique : Les gens qui désignent et définissent les générations appartiennent plutôt à la génération intermédiaire.
_3 ème rubrique : La vieillesse entretient des liens avec les générations qui la suivent. Le fait d'être vieux influence sur la relation entre les génération. En effet, il semble que la relation avec les personnes âgées soit moins conflictuelles que les autres. Les vieux sont moins enviés et sont moins en concurrence avec les autres générations.
_4 ème rubrique : La vieillesse n'influe pas nécessairement sur les relations entre l'individu et sa génération.
Hypothèse : Si les jeunes sont moins connectés aux autres, alors ils sont moins intégrés et par conséquent s'identifient moins à leur génération, et inversement.
Goncalves Anthony
Tout d'abord on commence par définir les mots clés du sujet .
Exemple :
Vieillesse : dernière phase de la vie humaine succédant à la maturité.
Ensuite on essai de mettre en relation les deux termes du sujet. Pour cela on cherche dans les quatre rubriques qui la composent.
_ 1 ère rubrique : La vieillesse est en relation avec cette rubrique. En effet, elle peut être un critère de définition d'une génération. C'est un critère relatif. Il n'a pas de valeur absolue à la différence de critères historiques.
_2 ème rubrique : Les gens qui désignent et définissent les générations appartiennent plutôt à la génération intermédiaire.
_3 ème rubrique : La vieillesse entretient des liens avec les générations qui la suivent. Le fait d'être vieux influence sur la relation entre les génération. En effet, il semble que la relation avec les personnes âgées soit moins conflictuelles que les autres. Les vieux sont moins enviés et sont moins en concurrence avec les autres générations.
_4 ème rubrique : La vieillesse n'influe pas nécessairement sur les relations entre l'individu et sa génération.
Hypothèse : Si les jeunes sont moins connectés aux autres, alors ils sont moins intégrés et par conséquent s'identifient moins à leur génération, et inversement.
Goncalves Anthony
TPE : La vieillesse est-elle impliqué dans la problématique " génération" ?
- Tout d'abord on commence par définir les mots clés du sujet.
Exemple :
Vieillesse : dernière phase de la vie humaine succédant à la maturité.
- Ensuite on essaie de mettre en relation les deux termes du sujet. Pour cela, on cherche dans les
quatre rubriques de la problématique.
- Si les vieux sont moins connectés aux autres, alors ils se reconnaîtront moins dans leur génération.
- Si les jeunes sont plus connectés aux autres, alors ils se reconnaîtront plus dans leur génération.
OUAOUAA MOHAMED ( TSB1).
- Tout d'abord on commence par définir les mots clés du sujet.
Exemple :
Vieillesse : dernière phase de la vie humaine succédant à la maturité.
- Ensuite on essaie de mettre en relation les deux termes du sujet. Pour cela, on cherche dans les
quatre rubriques de la problématique.
- 1ère rubrique : La vieillesse est en relation avec cette rubrique. En effet, elle peut être un critère de définition d'une génération. C'est un critère relatif. Il n'a pas de valeur absolue à la différence des critères historiques.
- 2ème rubrique : Qui définit les générations ?
- 3ème rubrique : La vieillesse entretient des liens avec les générations qui la suivent. En effet, il semble que les relations avec les personnes âgées sont moins conflictuelles que les autres. Les vieux sont moins enviés et sont moins en concurrence avec les autres générations.
- 4ème rubrique : La vieillesse ne détermine pas nécessairement sa relation avec sa génération.
- Si les vieux sont moins connectés aux autres, alors ils se reconnaîtront moins dans leur génération.
- Si les jeunes sont plus connectés aux autres, alors ils se reconnaîtront plus dans leur génération.
OUAOUAA MOHAMED ( TSB1).
vendredi 4 décembre 2009
jeudi 3 décembre 2009
TEP par Saïd Agouni (TS1 BAT)
TEP : La vieillesse est-elle impliquée dans la problématique "génération"?
- Tout d'abord on commence par définir les mots clés du sujet.
Exemple :
Vieillesse : dernière phase de la vie humaine succédant à la maturité.
- Ensuite on essaie de mettre en relation les deux termes du sujet. Pour cela on cherche dans les quatre rubriques qui composent la problématique.
- Tout d'abord on commence par définir les mots clés du sujet.
Exemple :
Vieillesse : dernière phase de la vie humaine succédant à la maturité.
- Ensuite on essaie de mettre en relation les deux termes du sujet. Pour cela on cherche dans les quatre rubriques qui composent la problématique.
- 1 ère rubrique : La vieillesse est en relation avec cette rubrique car la vieillesse peut être un critère de définition d'une génération. C'est un critère relatif. Il n'a pas de valeur absolue à la différence des critères historiques. On peut parler de la génération des vieux. Mais cela ne désigne pas une génération unique dans l'Histoire.
- 2e rubrique : Les gens qui désignent et définissent les générations appartiennent plutôt à la génération intermédiaire (30-60 ans). Pour répondre à la deuxième question de la problématique, on n'a donc pas besoin de se référer à la vieillesse.
- 3e rubrique : La vieillesse entretient des liens avec les générations qui la suivent. La vieillesse détermine la relation intergénérationnelle, dans la mesure où la relation entre les générations 1 et 2 a plus de chance d'être conflictuelle que celle entre la 1 et 3 (car la 1 peut être jalouse de la 2).
- 4e rubrique : La vieillesse n'influe pas nécessairement sur la relation entre l'individu et sa génération.
Cependant on peut faire une hypothèse :
- Si les vieux sont moins connectés à leurs pairs que les jeunes, alors ils sont moins intégrés et par conséquent s'identifient moins à leur géneration.
AGOUNI Saïd (revu et corrigé par le professeur)
Synthèse des 4 rubriques KURBAN OSMAN.
message d'Osman Kurban supprimé (note inférieure à la moyenne) : trop d'erreurs et de fautes d'expression.
jeudi 5 novembre 2009
correction des phrases :
1) On aurait pu croire que le progrès, donc le machinisme, permettait aux enfants de ne pas travailler. Or, la gravure du document 1 nous montre que certains enfants travaillaient dans les industries.
2) Le progrès a des effets néfastes sur l'homme et l'environnement.
3) L'idée occidentale, qui conçoit que le progrès est généré automatiquement par le développement économique et le développement technique, s'est avérée fausse.
4) Le document 4 mentionne que le développement industriel rime avec abondance.
5) On a également cru qu'il fallait être intelligent pour travailler avec des machines. Là encore on a eu tort, comme le démontre le document 2 lorsque le chef d'atelier dit aux employés qu'il vaut mieux être habile plutôt qu'intelligent. Il y a donc une déshumanisation du travail due à une innovation technologique: le travail à la chaîne.
6) Le document 4 nous révèle ensuite une fausse croyance à propos de l'arrêt du progrès. En 1900, on a cru à l'avènement d'une période de stagnation suite à une croissance d'un siècle, mais cela ne s'est pas produit.
7) On pourrait se demander si les détours qu'Ulysse a réalisés étaient bien utiles ou si ce n'était que des étapes obligées afin d'arriver à son but final : rentrer à Ithaque.
8) L'errance d'Ulysse est due aux vents mais surtout à l'erreur qu'il a commise en dévoilant son nom à Polyphème, fils de Poséidon.
9) Ces années d'errance sont dues à son manque de prudence.
10) Si on s'en tient à la définition du détour, qui signifie moyen subtil, ruse ou biais, les moyens d'Ulysse sont des détours.
11) Ils naviguèrent ensuite vers l'île des cyclopes où il furent faits prisonniers par Polyphème qui voulait les dévorer.
12) Dans ce chapitre, Ulysse a employé un détour moral. Il a fait de sa ruse un moyen de contourner un obstacle. Mais, laissant sa vanité parler pour lui, Ulysse a crié son nom à Polyphème. Ce fut la plus grosse erreur de son épopée. Polyphème, étant le fils du dieu Poséïdon, s'empressa d'invoquer son père afin d'être vengé.
13) Ulysse représentant le détour et l'Odyssée racontant une partie de la vie d'Ulysse, nous pouvons dire que l'Odyssée illustre le thème du détour.
14) Pour conclure, l'errance d'Ulysse vient de son imprudence d'avoir dévoilé son nom à Polyphème.
15) Dans l'Odyssée, Ulysse usera des détours de la ruse, lui qui est l'homme aux mille tours, issu de la lignée des "Mètis".
16) L'imprudence d'Ulysse est de faire trop confiance à ses hommes, qui ont ouvert l'outre, permettant aux vents de les éloigner à nouveau d'Ithaque, et qui ont aussi massacré les bœufs sur l'île du soleil, ce qui a déclenché la colère de Zeus.
aimerick Gallet (revu et corrigé par le professeur)
mercredi 4 novembre 2009
Voici les élèves de BTS 1 EEC et l'exposé qu'ils ont choisi de présenter :
Arotcaren Jonathan - Génération baby-boom
Babandisha Stephane - Génération Z
Bazureault Maxime -
Bendjael Abdessalem - Les « vieux » dans la société
Dacruz Jonathan - Génération Nazie
François David - Les « vieux » dans la société
Grattepanche Julien -
Jourdren Auriane - Harold et Maude
Kahloon Sélim - Grand Torino
Lemonnier Pierre - Génération 68
Le Roux David -
Lopez Julien - Le mythe d’Œdipe
Makni Hamdi -
Prigent Loïc - Génération Nazie
Serville Jérémie - Génération 68
Temnani Rachid - Les rapports intergénérationnels dans le monde du travail
Fait par Makni Hamdi
correction des phrases
Analysez et corrigez les fautes de syntaxe dans les phrases suivantes :
6) Parlons maintenant des fausses croyances concernant l’arrêt du progrès. Selon le (document 4) à partir de 1900 la très longue croissance qu’il y a eu pendant plus d’un siècle nous laissaient croira à une stagnation du progrès. Malheureusement cela ne s’est pas passé ainsi.
7) Les détours qu’Ulysse a entrepris sont-ils tous des détours ou des étapes obligatoires afin de rentrer à Ithaque ?
8) L’errance de ce voyage a deux causes. La première les vents violents. Et la deuxième est la révélation de son nom à Polyphème fils de Poséidon dieu de la mer.
9) En conclusion la manque de prudence de sa part lui valut des années d’errance.
10) Si le mot « détour » signifie indirect ça signifierait qu’Ulysse ait fait des détours dans le but de la ruse et de la subtilité.
11) Ils naviguent vers l’ile des cyclopes où ils furent prisonniers par Polyphème qui voulut les dévorer.
12) Ulysse a, dans ce chapitre, aussi fais preuve d’un détour moral. Sa ruse lui a permit de contourner un obstacle presque infranchissable. Sa ruse l’amenant à se sentir fort et à être vaniteux l’incita à crier et à affirmer à Polyphème qu’il ne s’appelle pas Personne mais Ulysse. Cette erreur énorme est-elle poussa Polyphème à invoquer son père afin de le venger.
14) En conclusion, en dévoilant son nom à Polyphème Ulysse fit preuve d’imprudence ce qui provoqua son errance.
16) Ulysse fit encore preuve d’imprudence en mettant sa confiance en des hommes. Ces hommes ouvriront l’outre qui laissera s’échapper des vents les éloignant d’Ithaque. Ou ces vents massacreront des bœufs sur l’ile du Soleil. Cette imprudences déclenchera la colère de Zeus.
6) Parlons maintenant des fausses croyances concernant l’arrêt du progrès. Selon le (document 4) à partir de 1900 la très longue croissance qu’il y a eu pendant plus d’un siècle nous laissaient croira à une stagnation du progrès. Malheureusement cela ne s’est pas passé ainsi.
7) Les détours qu’Ulysse a entrepris sont-ils tous des détours ou des étapes obligatoires afin de rentrer à Ithaque ?
8) L’errance de ce voyage a deux causes. La première les vents violents. Et la deuxième est la révélation de son nom à Polyphème fils de Poséidon dieu de la mer.
9) En conclusion la manque de prudence de sa part lui valut des années d’errance.
10) Si le mot « détour » signifie indirect ça signifierait qu’Ulysse ait fait des détours dans le but de la ruse et de la subtilité.
11) Ils naviguent vers l’ile des cyclopes où ils furent prisonniers par Polyphème qui voulut les dévorer.
12) Ulysse a, dans ce chapitre, aussi fais preuve d’un détour moral. Sa ruse lui a permit de contourner un obstacle presque infranchissable. Sa ruse l’amenant à se sentir fort et à être vaniteux l’incita à crier et à affirmer à Polyphème qu’il ne s’appelle pas Personne mais Ulysse. Cette erreur énorme est-elle poussa Polyphème à invoquer son père afin de le venger.
14) En conclusion, en dévoilant son nom à Polyphème Ulysse fit preuve d’imprudence ce qui provoqua son errance.
16) Ulysse fit encore preuve d’imprudence en mettant sa confiance en des hommes. Ces hommes ouvriront l’outre qui laissera s’échapper des vents les éloignant d’Ithaque. Ou ces vents massacreront des bœufs sur l’ile du Soleil. Cette imprudences déclenchera la colère de Zeus.
mardi 3 novembre 2009
Correction des phrases Goncalves Anthony
1) On aurait pu croire que le progrès donc le machinisme permettrait d'éviter le travail des enfants. Or la gravure doc 1 nous montre que des enfants travaillaient dans des usines.
2) Le progrès à des efforts néfastes sur l'homme et l'environnement.
3) L'idée occidentale qui conçoit que le progrès est généré automatiquement par le développement économique et technique, s'est avérée fausse.
4) Le doc 4 mentionne que le développement rime avec abondance.
5) On a cru qu'il fallait être intelligent pour travailler avec des machines. Là encore nous avons eut tord. Le doc 2 nous le démontre. En effet, le chef d'atelier dit aux employés qu'il faut être habile plutôt qu'intelligent. Il y a donc une déshumanisation du travail. Celle ci est due, d'après Céline à une innovation technologique qui est le travail à la chaîne et qui dégrade le travail humain.
6) Le doc 4 nous démontre la fausse croyance sur l'arrêt du progrès. On a cru e 1900 qu'il y avait une très longue croissance durant un siècle qui aboutira à une période de stagnation définitive. Mais cela ne se passe pas ainsi.
7) On peut se demander si les détours qu'a réalisés Ulysse sont bien des détours ou si cela étaient des étapes obligatoires afin d'arriver à Ithaque.
8) L'errance de son voyage fut, principalement, son erreur de stratégie en dévoilant son nom à Polyphème, puis, les vents.
9) Pour conclure, le manque de prudence lui fit aboutir à des années d'errance.
10) Si on s'en tient à la définition de " détours " d'un moyen subtil, ruse, biais, alors en effet les moyens d'Ulysse sont des détours.
11) Ils naviguent ensuite vers l'île des Cyclopes, où ils sont fait prisonniers par Polyphème qui veut les dévorer.
12) Ulysse, dans ce chapitre, a employé un détour moral. Il a fait de sa une ruse un moyen de contourner un obstacle presque infranchissable. Mais sa ruse est perméable car se sentant fort et laissant sa vanité parler pour lui, Ulysse cria au loin à Polyphème qu'il ne s'appelle pas " Personne " mais Ulysse. La plus grosse erreur de son épopée car Polyphème étant le fils du Dieu Poseïdon celui-ci s'empressa d'invoquer son père pour qu'il soit vengé.
13) Le fait de montrer qu'Ulysse représente le détour en lui même et que l'Odyssée illustre le mieux le terme du détour.
14)Pour conclure, la cause de l'errance est due à son imprudence en dévoilant son nom à Polyhème.
15) Dans l'Odyssée, Ulysse l'homme au mille tours et dont il est de la ligné des " Métis " est d'abord confronté au détour de la ruse.
16) L'imprudence est de faire trop confiance à ses hommes. Ceux ci ont ouverts l'outre qui contenaient les vents qui les ont éloigné à nouveau de Ithaque. Ces hommes ont aussi massacrer les boeufs sur l'île du soleil. Cela déclencha la colère de Zeus.
2) Le progrès à des efforts néfastes sur l'homme et l'environnement.
3) L'idée occidentale qui conçoit que le progrès est généré automatiquement par le développement économique et technique, s'est avérée fausse.
4) Le doc 4 mentionne que le développement rime avec abondance.
5) On a cru qu'il fallait être intelligent pour travailler avec des machines. Là encore nous avons eut tord. Le doc 2 nous le démontre. En effet, le chef d'atelier dit aux employés qu'il faut être habile plutôt qu'intelligent. Il y a donc une déshumanisation du travail. Celle ci est due, d'après Céline à une innovation technologique qui est le travail à la chaîne et qui dégrade le travail humain.
6) Le doc 4 nous démontre la fausse croyance sur l'arrêt du progrès. On a cru e 1900 qu'il y avait une très longue croissance durant un siècle qui aboutira à une période de stagnation définitive. Mais cela ne se passe pas ainsi.
7) On peut se demander si les détours qu'a réalisés Ulysse sont bien des détours ou si cela étaient des étapes obligatoires afin d'arriver à Ithaque.
8) L'errance de son voyage fut, principalement, son erreur de stratégie en dévoilant son nom à Polyphème, puis, les vents.
9) Pour conclure, le manque de prudence lui fit aboutir à des années d'errance.
10) Si on s'en tient à la définition de " détours " d'un moyen subtil, ruse, biais, alors en effet les moyens d'Ulysse sont des détours.
11) Ils naviguent ensuite vers l'île des Cyclopes, où ils sont fait prisonniers par Polyphème qui veut les dévorer.
12) Ulysse, dans ce chapitre, a employé un détour moral. Il a fait de sa une ruse un moyen de contourner un obstacle presque infranchissable. Mais sa ruse est perméable car se sentant fort et laissant sa vanité parler pour lui, Ulysse cria au loin à Polyphème qu'il ne s'appelle pas " Personne " mais Ulysse. La plus grosse erreur de son épopée car Polyphème étant le fils du Dieu Poseïdon celui-ci s'empressa d'invoquer son père pour qu'il soit vengé.
13) Le fait de montrer qu'Ulysse représente le détour en lui même et que l'Odyssée illustre le mieux le terme du détour.
14)Pour conclure, la cause de l'errance est due à son imprudence en dévoilant son nom à Polyhème.
15) Dans l'Odyssée, Ulysse l'homme au mille tours et dont il est de la ligné des " Métis " est d'abord confronté au détour de la ruse.
16) L'imprudence est de faire trop confiance à ses hommes. Ceux ci ont ouverts l'outre qui contenaient les vents qui les ont éloigné à nouveau de Ithaque. Ces hommes ont aussi massacrer les boeufs sur l'île du soleil. Cela déclencha la colère de Zeus.
lundi 2 novembre 2009
Correction des phrases :
1) On aurait pu croire que le progrès, donc le machinisme permettait aux enfants de ne pas travailler. Or la gravure du document 1 nous montre que des enfants travaillaient dans les industries.
2) Le progrès a des effets néfastes sur l'homme et l'environnement
3) L'idée occidentale qui conçoit que le progrès est généré par le développement économique et le développement technique, s'est avérée fausse.
4)Le document 4 mentionne que le développement industriel rime avec abondance.
5) On a cru qu'il fallait être intelligent pour travailler sur des machines. Là encore on a eu tord. Le document 2 le démontre. En effet, le chef d'atelier dit aux employés qu'il faut être habile plutôt qu'intelligent. Il y a donc une déshumanisation du travail. Celle ci est due à une innovation technologique, le travail a la chaîne.
6) Ensuite, nous enchaînons sur la fausse croyance a propos de l'arrêt du progrès. Le document 4 nous le démontre. En 1900 suite a une croissance d'un siècle, on a cru à l'aboutissement d'une période de stagnation; contrairement à ce qui s'est passé.
7) Mais on peut se demander si les détours d'Ulysse en sont vraiment. Ne sont ils pas simplement des étapes afin de parvenir a son objectif. Celui ci étant de rentrer a Ithaque.
8) Le long voyage d'Ulysse est dû aux vents. Mais aussi au fait qu'on dévoilant son vrai nom a Polyphème, en a déclenché la colère de son père, Poseïdon.
9)
10) Si on s'en tien a la définition de détour, cela signifie un moyen subtil une ruse ou un biais. On peut donc dire que les moyens d'Ulysse sont des détours.
11) Ils naviguèrent ensuite vers l'île des cyclopes, où il furent prisonniers par Polyphème. Ce dernier veut les dévorer.
12) Dans ce chapitre, Ulysse a employé un détour moral. Il a fait de sa ruse un moyen de contourner un obstacle. Mais sa ruse est perméable. En se sentant fort et en laissant sa vanité parler pour lui Ulysse cria son nom a Polyphème. Ceci fut la plus grosse erreur de son épopée. Polyphème étant le fils du dieu Poseïdon, s'empressa d'invoquer son père afin de se venger.
13) Ulysse représente le détour. L'Odyssée raconte une partie de la vie d'Ulysse. Ce qui nous permet de dire que l'Odyssée illustre le thème du détour.
14) Pour conclure, l'imprudence de dévoiler son nom a Polyphème a provoqué son errance.
15) Dans l'Odyssée Ulysse sera d'abord confronté aux détours de la ruse. Lui qui est l'homme aux milles tours et qui appartient à la lignée des Métis.
16) L'imprudence est de faire trop confiance à ses hommes. Ceux ci ont ouverts l'outre qui contenaient les vents qui les ont éloigné à nouveau de Ithaque. Ces hommes ont aussi massacrer les boeufs sur l'île du soleil. Cela déclencha la colère de Zeus.
Romain PRUDHOMME, BTS BAT
jeudi 22 octobre 2009
Synthèse "La vieillesse" KURBAN Osman TS1B
Partie 1 : Les points négatifs de la vieillesse.
- L'homme redoute le vieillesse à cause de la mort et de la maladie
- A l'approche de la mort l'homme cherche à la repousser
- Les plus de 50 ans seront plus nombreux en 2050
- Les jeunes adhèrent aux idée reçues
- Les vieux ne sont plus honorés
- Aujourd'hui 80% des plus de 50 ans sont encore actifs
- Le gouvernement français doit donc leur assurer une bonne qualité de vie.
- Les vieux n'ont pas de préjugés
- Son plaisir de vivre en est accru
- Vieillir c'est accepter et se familiariser avec la mort.
mardi 20 octobre 2009
dimanche 18 octobre 2009
Résumé de la problématique sur le thème des générations (Julien Verrecchia TS1B)
Aujourd'hui, le terme "génération" est très répandu notamment dans les médias.
Une question intéressante à se poser est : qu'est - ce qu'une génération ?Une génération est définie par un événement historique généralement mondial, une culture et un mode d'expression différent d'une génération à l'autre. Les générations se créent à partir de la génération antérieure qui transmet sa culture et ses coutumes. Les générations anciennes et nouvelles peuvent aussi entrer en conflit à cause des défauts que chacune trouve à l'autre ; que ce soit les nouvelles cultures, les habitudes ou les nouveaux modes d'expression.
Les générations viennent et partent et les conflits ou la transmission continueront tel un cycle et cela indéfiniment tant qu'il y aura des générations.
résumé du cours
La question de la génération est très vaste. Qu'est-ce qu'une génération ?
Premièrement , une génération se définit par son époque, un événement historique ou bien une façon de s'exprimer.
Les jeunes, aujourd'hui, ont leur propre culture alors que ceux d'autrefois partageaient les divertissements de leurs parents.
Qu'est -ce que le "Baby -boom" ? Celui-ci correspond à l'augmentation du taux de natalité après la seconde guerre mondiale entre 1945 et 1970. Nous trouvons pour l'instant 3 époques qui définissent des générations :
* La génération de 1960 à 1975 : La génération X.
* La génération de 1975 à 1990 : La génération Y.
* La génération de 1990 à 2005 : La génération Z.
De plus , sur la durée des générations les historiens considéraient qu'une génération était de 30 ans car les hommes se reproduisent en général trois fois par siècle. Au 20ème siècle, les historiens anglo-saxons ont construit une théorie qui considère qu'une génération dure environ 20 ans .
De ce fait les médias ont suivi.
D'autre part, les générations précédentes doivent transmettre un devoir de mémoire auprès de la nouvelle (Histoire des guerres, des faits marquants le monde).
Pour conclure, doit-on s'identifier à une génération précise ? Se faire influencer par sa génération ou bien au contraire vivre comme la génération de nos parents ?
Verrecchia Julien
jeudi 15 octobre 2009
règles de la synthèse (Jonathan Arotcaren & David Leroux TS1EEC )
Règles de la synthèse
Pour commencer, la synthèse doit tenir sur deux pages et demie ou trois pages.
La synthèse se compose en trois parties.
- L'introduction:
Sur la copie, elle doit tenir sur 7 à 8 lignes environ.
Elle comporte l'énoncé du thème et une problématique.
L'introduction annonce le plan du développement.
- Développement:
Il doit faire un minimum de 75 lignes (soit 2 pages).
Il comporte 2 à 4 parties.
Une partie correspond à un paragraphe sur le même sujet.
Au début de chaque partie, il faut indiquer le sujet de la partie.
Chaque partie doit comporter une phrase de conclusion.
Pour chaque partie du développement il faut que les 4 documents soient abordés.
- Conclusion:
Elle tient sur 7 à 8 lignes environ.
La conclusion est le résumé du développement.
Attention !!!
Quelques points doivent être précisés sur la synthèse .
- La synthèse ne devra pas comporter de citations.
- Aucun ajout aux documents et pas de copier/coller.
Très important !!
Les idées et la synthèse des documents doivent être reformulées.
Jonathan AROTCAREN et David LEROUX
analyse des documents (Paul Pelloux)
Doc 1:
1) Les deux raisons de la peur de la vieillesse sont la mort et la maladie.3) Aujourd'hui une large majorité des plus de 50 ans mène une vie normale.
Doc 2:
1) Les jeunes adhérent aux idées reçues.2) Les personnes âgées se forgent un point de vue personnel.
Doc 3:
1) Les plus de 50 ans seront de plus en plus nombreux jusqu'en 2050.2) Le gouvernement français doit conserver une bonne qualité de vie à la population vieillissante.
Doc 4:
1) A l'approche de la mort l'homme fait tout pour la repousser.2) Il savoure les plaisirs éphémères de la vie.
3) Vieillir c'est se familiariser avec la mort.
Paul Pelloux
mercredi 14 octobre 2009
Introduction de la synthèse sur la vieillesse : (Osman et Nicolas, TSB1)
Le sujet que nous étudions est une mini-synthèse sur la vieillesse composée de quatre textes. Le premier texte est tiré de Web encyclopédie. On nous explique la peur qu'ont les humains pour la vieillesse et l'évolution des points de vue sur les personnes âgées malgré leur activité plus intense qu’avant. Le second texte est du philosophe Michel Serres. Le troisième texte provient du site de la santé du gouvernement français. Il tire les conclusions d'un sondage sur la vieillesse. Et le dernier texte est un extrait de texte tiré de Eloge de la vieillesse de Hermann Hesse. Dans cet extrait on parle de ce que l'homme ressent dans les dernières années de sa vie.
Notre problématique est la suivante : la vieillesse est–elle un fait positif ou négatif ?
Nous ferons donc notre synthèse en deux grandes parties :
1-La vieillesse présente des aspects négatifs.
2- la vieillesse présente des aspects positifs.
Notre problématique est la suivante : la vieillesse est–elle un fait positif ou négatif ?
Nous ferons donc notre synthèse en deux grandes parties :
1-La vieillesse présente des aspects négatifs.
2- la vieillesse présente des aspects positifs.
Méthode de la synthèse (Romain Prudhomme)
La synthèse de documents
Méthode
Pour rédiger une synthèse il faut savoir dégager l’essentiel de chaque document, confronter des informations variées, des opinions contradictoires ou complémentaires, et en proposer un compte rendu clair et objectif.
La synthèse se divise en 3 étapes, qui sont l'analyse des documents, la confrontation de ces derniers et enfin la rédaction.
La première étape est l'analyse : c'est a dire la lecture du dossier, on prend connaissance des documents, en faisant une lecture rapide du paratexte. Ensuite il faut prendre note sur chaque document : nature des documents, caractéristiques des auteurs, date de publication, et sur le type de texte
La deuxième étape est la confrontation : il s’agit de comparer les données, on peut utiliser un tableau : une colonne est créée pour chaque document; on note dans chaque colonne les idées du document. On détermine ainsi les idées communes ou contradictoires et on analyse de façon claire si le document apporte une confirmation, une affirmation, une infirmation ou un complément par rapport à la problématique définie.
A partir de là, on peut établir un plan.
La troisième partie est la rédaction : la rédaction se décompose en trois parties qui sont l'introduction, le développement et enfin la conclusion
PRUDHOMME Romain
mardi 13 octobre 2009
lundi 12 octobre 2009
Méthode de la synthèse (Saïd Agouni TS1B)
Méthode de la Synthèse :
Tout d'abord on doit effectuer l'analyse des documents (= corpus). De cette analyse on extrait des propositions. Une proposition est une phrase composée d'un thème et d'un prédicat.
Définition d'une Proposition :
On retient l'idée qu'une proposition peut être vérifiée ou falsifiée (= on peut se poser la question de savoir si c'est vrai ou faux).
Après avoir extrait et ordonné les différentes propositions on peut enfin établir le plan du développement.
S'offrent à nous plusieurs alternatives de plans :
- Analytique : On analyse et décrit la situation, puis en découlent les causes et on envisage les conséquences.
- Thématique : Ce plan consiste à montrer plusieurs facettes du problème.
- Dialectique : Ce dernier est composé d'une thèse, antithèse et d'une synthèse qui amène au final à la solution.
AGOUNI Saïd TS1B
Tout d'abord on doit effectuer l'analyse des documents (= corpus). De cette analyse on extrait des propositions. Une proposition est une phrase composée d'un thème et d'un prédicat.
Définition d'une Proposition :
On retient l'idée qu'une proposition peut être vérifiée ou falsifiée (= on peut se poser la question de savoir si c'est vrai ou faux).
Après avoir extrait et ordonné les différentes propositions on peut enfin établir le plan du développement.
S'offrent à nous plusieurs alternatives de plans :
- Analytique : On analyse et décrit la situation, puis en découlent les causes et on envisage les conséquences.
- Thématique : Ce plan consiste à montrer plusieurs facettes du problème.
- Dialectique : Ce dernier est composé d'une thèse, antithèse et d'une synthèse qui amène au final à la solution.
AGOUNI Saïd TS1B
dimanche 11 octobre 2009
Exposés sur le thème "Génération"
Voici les thèmes des exposés données succinctement lors du cour du jeudi 1er octobre.
Chaque sujet peut etre accompagné par une ou deux questions traitant du thème.
Sujets:
Questions
1. Les Baby Boomers
2. Gran Torino (film)
Transmission et divorce entre générations.
3. Harold et Maude (film ou roman)
Rencontre e deux générations / génération hippie
4. Le mythe et le complexe d'Oedipe
Que nous apprend Œdipe sur les générations?
5.La Beat Génération
A-t-elle eu une influence sur la culture occidentale?
6. La génération Nazie
Peut on parler de génération nazie / Quel héritage a-t-elle laissé?
7. Le Liseur de Schlink
Quel problème inter-générationnel pose ce roman?
8. Génération 1968
Valeur de cette notion? Pertinence ?
9. La transmission du savoir a l’ école
10. Les rapports inter générationnels dans le monde du travail
Comment se présentent ces relations? / Echange et cloisonnement
11. Les « vieux » dans la société ( en France )
Quel problème pose la génération des seniors ?
12. Génération Z
Peut on définir la génération Z ?
13. Quel est le role des medias dans les habitudes ( mentales, comportementales, générationnelles )
Da cruz Jonathan et Guillaume Sciratie TS1 EEC
Chaque sujet peut etre accompagné par une ou deux questions traitant du thème.
Sujets:
Questions
1. Les Baby Boomers
2. Gran Torino (film)
Transmission et divorce entre générations.
3. Harold et Maude (film ou roman)
Rencontre e deux générations / génération hippie
4. Le mythe et le complexe d'Oedipe
Que nous apprend Œdipe sur les générations?
5.La Beat Génération
A-t-elle eu une influence sur la culture occidentale?
6. La génération Nazie
Peut on parler de génération nazie / Quel héritage a-t-elle laissé?
7. Le Liseur de Schlink
Quel problème inter-générationnel pose ce roman?
8. Génération 1968
Valeur de cette notion? Pertinence ?
9. La transmission du savoir a l’ école
10. Les rapports inter générationnels dans le monde du travail
Comment se présentent ces relations? / Echange et cloisonnement
11. Les « vieux » dans la société ( en France )
Quel problème pose la génération des seniors ?
12. Génération Z
Peut on définir la génération Z ?
13. Quel est le role des medias dans les habitudes ( mentales, comportementales, générationnelles )
Da cruz Jonathan et Guillaume Sciratie TS1 EEC
vendredi 9 octobre 2009
Benjamin Dahan TS1B
Travail à corriger
Les règles de la synthèse se déroullent en trois parties de trois pages:
-L'introduction: Dans une introduction il faut d'abord présenter le sujet en étant assez rapide (environ une dizaine de ligne), puis dégager la problématique du texte tout en énoncent le dévelloppement que l'on va suivre. dévelloppement: le développement est le coeur de la synthèse, car elle permet de répondre a la problématique. le développement peut se dérouler en deux parties (environ 70-75 lignes) minimum ou quatre parties (environ 70-75 lignes) maximum. Dans chaques parties il peut y avoir des sous parties qui permettrons d'approfondir la partie dévelloppée. Dans chaque sous partie il préférable d'ajouter des informations tirées de l'ensemble du corpus donné, surtout ne pas mettre de sitations dans son devoir. Aucun ajout personnel doit être émis dans le développement. Par ailleur toutes les informations données doit être référencées.
-La conclusion doit résumer le développement sans terminer par une fin qui donne une ouverture sur une autre problématique.
bts batiment Benjamin Dahan
Les règles de la synthèse se déroullent en trois parties de trois pages:
-L'introduction: Dans une introduction il faut d'abord présenter le sujet en étant assez rapide (environ une dizaine de ligne), puis dégager la problématique du texte tout en énoncent le dévelloppement que l'on va suivre. dévelloppement: le développement est le coeur de la synthèse, car elle permet de répondre a la problématique. le développement peut se dérouler en deux parties (environ 70-75 lignes) minimum ou quatre parties (environ 70-75 lignes) maximum. Dans chaques parties il peut y avoir des sous parties qui permettrons d'approfondir la partie dévelloppée. Dans chaque sous partie il préférable d'ajouter des informations tirées de l'ensemble du corpus donné, surtout ne pas mettre de sitations dans son devoir. Aucun ajout personnel doit être émis dans le développement. Par ailleur toutes les informations données doit être référencées.
-La conclusion doit résumer le développement sans terminer par une fin qui donne une ouverture sur une autre problématique.
bts batiment Benjamin Dahan
jeudi 8 octobre 2009
Les règles de la synthèse (Mathis Lentini TS1B)
Les règles de la synthèse
Tout d’abord, la synthèse est comprise entre deux pages et demi à trois pages.
Elle se décompose en trois parties:
- l’introduction : -accroche: la première phrase est destiné a montrer l'intérêt du sujet.
-introduire le sujet tel qu'il est énoncé
-délimiter le cadre spatio-temporel: ou et quand
-définition des termes du sujet
-annonce de la problématique: la réponse au sujet passe par une problématique.
-annonce du plan: par exemple "tout d'abord nous verrons ... puis... et enfin...
L'introduction comporte en général cinq lignes .
- le développement : une fois le plan énoncé , le développement se fera en deux grandes parties minimum mais comprenant chacune trois sous-parties. Chaque partie nécessite l’utilisation d’information tiré de plusieurs documents ,il ne doit y avoir d'ajout de citation. Le titre de chaque grande partie sera en accord avec le plan et donc avec la problématique .
Le contenu de la sous-partie développe chacune une idée, expliquée à travers un raisonnement, des mécanismes, de l’utilisation de concepts, la référence à des auteurs et illustrée par des faits statistiques, historiques ou d’actualité. Prêtez toujours attention à la corrélation entre vos idées et ce que vous voulez démontrer, aucun rapport à une situation personnelle ne pourra être ajouté. La transition entre chaque partie est importante elle permet au lecteur de ne jamais s’arrêter dans sa lecture et de comprendre notre plan. S’il voit que la transition est bonne il peut noté une certaine clarté dans les idées du candidat.
Pour avoir un ordre de grandeur de la synthèse elle doit correspondre à 75 lignes minimum
- la conclusion :le contenu de la conclusion doit reprendre les idées essentielles de notre développement comme un résumé, mais essayer de répondre à la problématique posé dans l’introduction.Elle fait aussi cinq lignes comme l'introduction. L'importance de la conclusion est importante, on a trop tendance à la négligé alors que c'est à cet endroit que la note se joue.
Description de la synthèse d'un corpus (Saïd Agouni TS1B)
Description de la synthèse de texte :
La synthèse doit être organisée sous forme de parties, qui sont l'introduction, le développement et la conclusion. Il faut respecter une certaine proportionnalité.
L'introduction doit être assez brève (environ une dizaine de lignes). Cette partie a pour objectif de présenter et énoncer le thème ou le sujet du corpus étudié. Mais elle est permet aussi de présenter le plan du développement.
Le développement représente la plus grosse partie de la synthèse (environ 70 à 75 lignes). Ce développement doit contenir au minimum deux parties et au maximum quatre (chaque partie doit être organisée). Une des règles importantes est qu'il faut retrouver dans chacune des parties des informations sur plusieurs textes (au mieux sur tous). Toute information doit être reformulée et accompagnée de la source. Une autre règle importante : il ne faut surtout pas faire de citation et en aucuns cas ajouter des informations.
La dernière partie de la synthèse est la conclusion, qui résume le développement. On ne doit pas faire d'ouverture sur un autre sujet.
AGOUNI Saïd TS1B
La synthèse doit être organisée sous forme de parties, qui sont l'introduction, le développement et la conclusion. Il faut respecter une certaine proportionnalité.
L'introduction doit être assez brève (environ une dizaine de lignes). Cette partie a pour objectif de présenter et énoncer le thème ou le sujet du corpus étudié. Mais elle est permet aussi de présenter le plan du développement.
Le développement représente la plus grosse partie de la synthèse (environ 70 à 75 lignes). Ce développement doit contenir au minimum deux parties et au maximum quatre (chaque partie doit être organisée). Une des règles importantes est qu'il faut retrouver dans chacune des parties des informations sur plusieurs textes (au mieux sur tous). Toute information doit être reformulée et accompagnée de la source. Une autre règle importante : il ne faut surtout pas faire de citation et en aucuns cas ajouter des informations.
La dernière partie de la synthèse est la conclusion, qui résume le développement. On ne doit pas faire d'ouverture sur un autre sujet.
AGOUNI Saïd TS1B
synthèse de document (Romain Prudhomme TS1B)
Méthode de la synthèse de document :
Une synthèse de document doit être réalisée en 2,5 à 3 pages comprenant une introduction, un développement et une conclusion.
La première étape de la synthèse est l'introduction : l'introduction sert a présenter le sujet du groupement de texte, énoncer une problématique et enfin annoncer le plan du développement.
Dans un second temps il y a le développement : Le développement doit compter environ 70 à75 lignes et comporter deux parties minimum et quatre au maximum. Il faut que dans chaque partie il y ait des informations tirées de plusieurs documents. Toutes les informations doivent être accompagnées d'une référence et doivent être reformulées. Chaque partie doit être organisée, cela signifie qu'elle doit comporter des sous-parties, ou qu'il faut organiser les informations dans un ordre logique. Toute citation est interdite, et il ne doit y avoir aucun ajout personnel.
Enfin la troisième partie de la synthèse est la conclusion : la conclusion est le résumé du développement. Il ne faut pas faire d'ouverture sur une autre question. Il ne faut ajouter aucune opinion personnelle.
Romain PRUDHOMME
Résumé de la problématique (Rameez Bhatti TS1B)
Le mot génération est très répandu dans les médias.
Une génération se caractérise-t-elle par un événement historique, une communauté de valeurs ou un mode d’expression ?
De nos jours, est-il plus difficile de bien distinguer les générations, qui tendent à se confondre ?
Une génération est-elle définie par les scientifiques, la génération antérieure, la suivante ou elle-même ?
Les relations entre les générations sont-elles obligatoirement conflictuelles ?
N’existe-t-il pas une transmission d’héritage ? Les aînés peuvent-ils contribuer à la formation de la génération suivante ?
Nous nous intéresserons à la relation entre un individu et sa génération. Soit l’individu intègre sa génération, soit il prend ses distances. L’identité individuelle se définit-elle par rapport à une génération ou par rapport à toute l’histoire humaine ?
Une génération se caractérise-t-elle par un événement historique, une communauté de valeurs ou un mode d’expression ?
De nos jours, est-il plus difficile de bien distinguer les générations, qui tendent à se confondre ?
Une génération est-elle définie par les scientifiques, la génération antérieure, la suivante ou elle-même ?
Les relations entre les générations sont-elles obligatoirement conflictuelles ?
N’existe-t-il pas une transmission d’héritage ? Les aînés peuvent-ils contribuer à la formation de la génération suivante ?
Nous nous intéresserons à la relation entre un individu et sa génération. Soit l’individu intègre sa génération, soit il prend ses distances. L’identité individuelle se définit-elle par rapport à une génération ou par rapport à toute l’histoire humaine ?
BHATTI Rameez TS1B
lundi 5 octobre 2009
Définition du mot Génération
Définition du mot Génération
GÉNÉRATION, subst. fém.
GÉNÉRATION, subst. fém.
A. − 1. Action d'engendrer. Assisté à un cours d'anatomie. Admiré la simplicité grandiose de la nature dans la fécondation et la génération, nulle part plus vénérable (Michelet, Journal, 1856, p. 302) :
1. Le produit de la génération est ou un bourgeon qui se développe en un animal demeurant quelque temps sur le corps dont il provient, et en formant comme une branche ou un fœtus qui se développe dans la matrice de sa mère...Cuvier, Anat. comp., t. 1, 1805, p. 43.
− En partic. Reproduction. La génération vivipare, ovipare; la génération asexuée, sexuée. La déesse qui préside à la génération des êtres (Dupuis, Orig. cultes, 1796, p. 356). Les organes de la génération (Cabanis, Rapp. phys. et mor., t. 1, 1808, p. 420) :
2. Pour divers que soit le mode de génération des êtres vivants, il apparaît toujours comme une conséquence de l'accroissement cellulaire.J. Rostand, La Vie et ses probl., 1939, p. 26.
♦ Génération spontanée. Constitution, formation d'êtres vivants à partir de la matière inerte. C'est Needham qui le premier, au cours de recherches sur la possibilité de la génération spontanée, a songé à utiliser la chaleur pour détruire les germes vivants (Ser, Phys. industr., 1890, p. 448).
2. P. ext. Action par laquelle une chose est produite, se forme; p. méton., le fait ou la manière de se former. La génération des idées (Ac.). L'histoire de la génération de nos connaissances ne peut pas consister uniquement dans l'histoire de nos moyens de connaître (Destutt de Tr., Idéol. 3, 1805, p. 426). Le mode de génération des tempêtes était dès lors entrevu; il est intimement lié au mode de génération des brouillards (Hugo, Travaill. mer, 1866, p. 132) :
3. ... Il [Tridon le Sidonien] méditait la génération des tempêtes et des calmes, la circulation des courants tièdes, et de ces fleuves immiscibles...Valéry, Eupalinos, 1923, p. 125.
− GÉOM. Production d'une figure géométrique par une ligne ou un point supposés en mouvement. La génération d'un cylindre (Ac.). Toutes les ellipses peuvent être considérées comme les projections d'un cercle vu en perspective, et qu'en rattachant ainsi (...) la génération des ellipses à celle du cercle, on trouve dans les propriétés du cercle la raison de toutes les propriétés des courbes du genre des ellipses (Cournot, Fond. connaiss., 1851, p. 302).
− LING. Action de générer une phrase.
B. − P. méton.
1. a) Ensemble de ceux qui descendent d'une même origine. Synon. descendance, postérité. La génération de Noé (Ac.).
b) Chaque degré de filiation; laps de temps qui sépare ces degrés de filiation (environ trente ans). Conflit de générations; choc des générations. La reine est une divinité jalouse qui punit les coupables jusqu'à la septième génération (About, Grèce, 1854, p. 341). En l'espace de quatre ou cinq générations (Teilhard de Ch., Phénom. hum., 1955, p. 238) :
4. ... M. de Charlus et Saint-Loup, par des chemins différents, et avec des opinions opposées, étaient devenus, à une génération d'intervalle, des intellectuels que toute idée nouvelle intéresse...Proust, Temps retr., 1922, p. 762.
♦ De génération en génération. De père en fils. [Ils] ont perdu la foi, ne pratiquent pas les rites prescrits et sont athées de génération en génération depuis les tailleurs de pierres venus d'Espagne (Cendrars, Bourlinguer, 1948, p. 79).
− P. anal. Si l'on considère maintenant une masse d'uranium 235 pur, la fission d'un noyau par un neutron en fournit au moins deux autres qui, à leur tour, vont servir d'amorce pour la rupture de deux noyaux, libérant cette fois quatre neutrons à la seconde génération, huit à la troisième, mille à la dixième, un milliard à la trentième (Goldschmidt, Avent. atom., 1962, p. 30).
− En partic. Chacune des phases successives qui marquent un changement important dans une technique en évolution; p. méton., ensemble des appareils, équipements, machines, etc. utilisant la même technologie (d'apr. Gilb. 1971). Première, deuxième, troisième génération d'ordinateurs (cf. Le Garff 1975). Le cinéma d'animation de la 2e génération; le rock de la 3e génération (L'Express, 2 oct. 1972, p. 102, col. 1). Une nouvelle génération d'éléments automoteurs doit entrer en service à la fin de 1972 (La Vie du Rail, 9 avr. 1972, p. 6, col. 1).
2. Ensemble de ceux qui vivent à une même époque et qui ont sensiblement le même âge. La génération montante. Il y avait un ton de génération à génération cadette (Giraudoux, Bella, 1926, p. 55). Les hommes de la génération finissante, dont la vieillesse avait enjambé la guerre, trouvaient pourtant que Paris déclinait avec eux (Druon, Gdes fam., t. 1, 1948, p. 25) :
5. Aujourd'hui, je vais voir mon oncle de Courmont. Il nous dit : « Oui, j'ai été assez malade... » Je me disais : « Est-ce que le vieux bonhomme va claquer? » et il dit cela avec un rire naturel. Voilà la philosophie de la génération de 1789.Goncourt, Journal, 1865, p. 147.
SYNT. Nouvelle, jeune, dernière génération; les gens, les hommes de ma génération; la génération à laquelle j'appartiens.
Prononc. et Orth. : [ʒeneʀasjɔ̃]. Ds. Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1. 1re moitié xiie s. generatiun « ensemble de ceux qui vivent à la même époque » (Psautier Oxford, éd. Fr. Michel, LX, 6); 2. fin xiie s. « procréation, fonction par laquelle les êtres se reproduisent » (Sermons St Bernard, éd. W. Fœrster, VII, 35); 1752 spéc. géom. (Trév. : Génération de la cycloïde ... Génération du cône); 3. 1966 ling. (B. Grunig, Les Théories transformationnelles ds Linguistique, t. 1, 1966, p. 34 : la génération des langages). Empr. au lat. generatio « engendrement, reproduction », spéc. « descendance » en lat. chrét.; au sens 3 empr. à l'angl. generation terme de ling. (1959 ds NED Suppl.2) de même orig. que le français. Fréq. abs. littér. : 4 039. Fréq. rel. littér. : xixe s. : a) 7 260, b) 3 985; xxe s. : a) 5 484, b) 5547. Bbg. Merk (G.). L'Étymol. de race. Trav. Ling. Litt. Strasbourg. 1969, t. 7, no 1, pp. 177-188. - Peyre (H.). Les Générations littér. Paris, 1948, 266 p.
Raccourci définition :
-le mot génération a 5 sens:
1. La reproduction ou la production.
2. La descendance.
3. Le degré de filiation (degré dans une lignée ou un produit).
4. Laps de temps qui sépare les degrés.
5. Ensemble des individus nés à une même époque , à la même période , au même moment.
RABAA Achraf TS1B.
GÉNÉRATION, subst. fém.
GÉNÉRATION, subst. fém.
A. − 1. Action d'engendrer. Assisté à un cours d'anatomie. Admiré la simplicité grandiose de la nature dans la fécondation et la génération, nulle part plus vénérable (Michelet, Journal, 1856, p. 302) :
1. Le produit de la génération est ou un bourgeon qui se développe en un animal demeurant quelque temps sur le corps dont il provient, et en formant comme une branche ou un fœtus qui se développe dans la matrice de sa mère...Cuvier, Anat. comp., t. 1, 1805, p. 43.
− En partic. Reproduction. La génération vivipare, ovipare; la génération asexuée, sexuée. La déesse qui préside à la génération des êtres (Dupuis, Orig. cultes, 1796, p. 356). Les organes de la génération (Cabanis, Rapp. phys. et mor., t. 1, 1808, p. 420) :
2. Pour divers que soit le mode de génération des êtres vivants, il apparaît toujours comme une conséquence de l'accroissement cellulaire.J. Rostand, La Vie et ses probl., 1939, p. 26.
♦ Génération spontanée. Constitution, formation d'êtres vivants à partir de la matière inerte. C'est Needham qui le premier, au cours de recherches sur la possibilité de la génération spontanée, a songé à utiliser la chaleur pour détruire les germes vivants (Ser, Phys. industr., 1890, p. 448).
2. P. ext. Action par laquelle une chose est produite, se forme; p. méton., le fait ou la manière de se former. La génération des idées (Ac.). L'histoire de la génération de nos connaissances ne peut pas consister uniquement dans l'histoire de nos moyens de connaître (Destutt de Tr., Idéol. 3, 1805, p. 426). Le mode de génération des tempêtes était dès lors entrevu; il est intimement lié au mode de génération des brouillards (Hugo, Travaill. mer, 1866, p. 132) :
3. ... Il [Tridon le Sidonien] méditait la génération des tempêtes et des calmes, la circulation des courants tièdes, et de ces fleuves immiscibles...Valéry, Eupalinos, 1923, p. 125.
− GÉOM. Production d'une figure géométrique par une ligne ou un point supposés en mouvement. La génération d'un cylindre (Ac.). Toutes les ellipses peuvent être considérées comme les projections d'un cercle vu en perspective, et qu'en rattachant ainsi (...) la génération des ellipses à celle du cercle, on trouve dans les propriétés du cercle la raison de toutes les propriétés des courbes du genre des ellipses (Cournot, Fond. connaiss., 1851, p. 302).
− LING. Action de générer une phrase.
B. − P. méton.
1. a) Ensemble de ceux qui descendent d'une même origine. Synon. descendance, postérité. La génération de Noé (Ac.).
b) Chaque degré de filiation; laps de temps qui sépare ces degrés de filiation (environ trente ans). Conflit de générations; choc des générations. La reine est une divinité jalouse qui punit les coupables jusqu'à la septième génération (About, Grèce, 1854, p. 341). En l'espace de quatre ou cinq générations (Teilhard de Ch., Phénom. hum., 1955, p. 238) :
4. ... M. de Charlus et Saint-Loup, par des chemins différents, et avec des opinions opposées, étaient devenus, à une génération d'intervalle, des intellectuels que toute idée nouvelle intéresse...Proust, Temps retr., 1922, p. 762.
♦ De génération en génération. De père en fils. [Ils] ont perdu la foi, ne pratiquent pas les rites prescrits et sont athées de génération en génération depuis les tailleurs de pierres venus d'Espagne (Cendrars, Bourlinguer, 1948, p. 79).
− P. anal. Si l'on considère maintenant une masse d'uranium 235 pur, la fission d'un noyau par un neutron en fournit au moins deux autres qui, à leur tour, vont servir d'amorce pour la rupture de deux noyaux, libérant cette fois quatre neutrons à la seconde génération, huit à la troisième, mille à la dixième, un milliard à la trentième (Goldschmidt, Avent. atom., 1962, p. 30).
− En partic. Chacune des phases successives qui marquent un changement important dans une technique en évolution; p. méton., ensemble des appareils, équipements, machines, etc. utilisant la même technologie (d'apr. Gilb. 1971). Première, deuxième, troisième génération d'ordinateurs (cf. Le Garff 1975). Le cinéma d'animation de la 2e génération; le rock de la 3e génération (L'Express, 2 oct. 1972, p. 102, col. 1). Une nouvelle génération d'éléments automoteurs doit entrer en service à la fin de 1972 (La Vie du Rail, 9 avr. 1972, p. 6, col. 1).
2. Ensemble de ceux qui vivent à une même époque et qui ont sensiblement le même âge. La génération montante. Il y avait un ton de génération à génération cadette (Giraudoux, Bella, 1926, p. 55). Les hommes de la génération finissante, dont la vieillesse avait enjambé la guerre, trouvaient pourtant que Paris déclinait avec eux (Druon, Gdes fam., t. 1, 1948, p. 25) :
5. Aujourd'hui, je vais voir mon oncle de Courmont. Il nous dit : « Oui, j'ai été assez malade... » Je me disais : « Est-ce que le vieux bonhomme va claquer? » et il dit cela avec un rire naturel. Voilà la philosophie de la génération de 1789.Goncourt, Journal, 1865, p. 147.
SYNT. Nouvelle, jeune, dernière génération; les gens, les hommes de ma génération; la génération à laquelle j'appartiens.
Prononc. et Orth. : [ʒeneʀasjɔ̃]. Ds. Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1. 1re moitié xiie s. generatiun « ensemble de ceux qui vivent à la même époque » (Psautier Oxford, éd. Fr. Michel, LX, 6); 2. fin xiie s. « procréation, fonction par laquelle les êtres se reproduisent » (Sermons St Bernard, éd. W. Fœrster, VII, 35); 1752 spéc. géom. (Trév. : Génération de la cycloïde ... Génération du cône); 3. 1966 ling. (B. Grunig, Les Théories transformationnelles ds Linguistique, t. 1, 1966, p. 34 : la génération des langages). Empr. au lat. generatio « engendrement, reproduction », spéc. « descendance » en lat. chrét.; au sens 3 empr. à l'angl. generation terme de ling. (1959 ds NED Suppl.2) de même orig. que le français. Fréq. abs. littér. : 4 039. Fréq. rel. littér. : xixe s. : a) 7 260, b) 3 985; xxe s. : a) 5 484, b) 5547. Bbg. Merk (G.). L'Étymol. de race. Trav. Ling. Litt. Strasbourg. 1969, t. 7, no 1, pp. 177-188. - Peyre (H.). Les Générations littér. Paris, 1948, 266 p.
Raccourci définition :
-le mot génération a 5 sens:
1. La reproduction ou la production.
2. La descendance.
3. Le degré de filiation (degré dans une lignée ou un produit).
4. Laps de temps qui sépare les degrés.
5. Ensemble des individus nés à une même époque , à la même période , au même moment.
RABAA Achraf TS1B.
vendredi 2 octobre 2009
Résumé de la problématique (Louis Delcayre TS1B)
Le mot "génération" est très répandu dans les médias.
Une génération se caractérise-t-elle par un événement historique? une communauté de valeurs? ou un mode d'expression? N'est-il pas, aujourd'hui, plus difficile de distinguer les générations qui tendent à ce confondre?
Une génération est-elle identifiée par les scientifique, par la génération antérieure, la suivante ou elle-même?
Les relations entre les générations sont-elles obligatoirement conflictuelles? N'existe-t-il pas une transmission d'héritage? Les ainés peuvent-ils contribuer à la formation de la génération suivante?
Nous nous intéresserons à la relation entre un individu et sa génération. Soit l'individu s'intègre à sa génération, soit il s'en éloigne. L'identité individuelle se définit-elle par rapport à une génération ou par rapport à toute l'histoire humaine?
Une génération se caractérise-t-elle par un événement historique? une communauté de valeurs? ou un mode d'expression? N'est-il pas, aujourd'hui, plus difficile de distinguer les générations qui tendent à ce confondre?
Une génération est-elle identifiée par les scientifique, par la génération antérieure, la suivante ou elle-même?
Les relations entre les générations sont-elles obligatoirement conflictuelles? N'existe-t-il pas une transmission d'héritage? Les ainés peuvent-ils contribuer à la formation de la génération suivante?
Nous nous intéresserons à la relation entre un individu et sa génération. Soit l'individu s'intègre à sa génération, soit il s'en éloigne. L'identité individuelle se définit-elle par rapport à une génération ou par rapport à toute l'histoire humaine?
Louis Delcayre.
exemples associés aux différents sens du mot "génération" (J. Verrecchia et M. Maïche TS1B)
1/ Production (action de produire ou de reproduire)
*_ Génération d'une courbe.
2/Descendance
_Un arbre généalogique représente la génération d'un homme.
3/Degré de filiation ou Degré dans une lignée ( grand père ; fils ....etc. )
*_ Un généalogiste étudie les générations d'une famille.
**_C'est un lecteur DVD 3ème génération.
***_ Trois générations cohabitent dans cette maison.
4/Laps de temps qui sépare ces degrés
*_On évalue une génération en faisant la moyenne de l'age de la mère et du père à la naissance des enfants.
5/Ensemble des individus nés dans une même période.
*_ La génération grand bleu.
Julien Verrecchia et Mohamed Maïche
*_ Génération d'une courbe.
2/Descendance
_Un arbre généalogique représente la génération d'un homme.
3/Degré de filiation ou Degré dans une lignée ( grand père ; fils ....etc. )
*_ Un généalogiste étudie les générations d'une famille.
**_C'est un lecteur DVD 3ème génération.
***_ Trois générations cohabitent dans cette maison.
4/Laps de temps qui sépare ces degrés
*_On évalue une génération en faisant la moyenne de l'age de la mère et du père à la naissance des enfants.
5/Ensemble des individus nés dans une même période.
*_ La génération grand bleu.
Julien Verrecchia et Mohamed Maïche
jeudi 1 octobre 2009
Explicitation du texte thème de l'année
Suite
Les liens entre génération se créés t-il de la même façon qu’hier ou alors différemment ? Les générations doivent-elles se confronter ? Ne devons nous pas transmettre à la génération suivante, avons- nous de l’influence sur la génération suivante dans sa construction et sa vie ?
Pouvons-nous nous échapper de notre génération ? Est-elle une prison ? Qu’est ce que l’identité personnel, comment la construit-on ?
Quentin LOISEAUX TS1B
Les liens entre génération se créés t-il de la même façon qu’hier ou alors différemment ? Les générations doivent-elles se confronter ? Ne devons nous pas transmettre à la génération suivante, avons- nous de l’influence sur la génération suivante dans sa construction et sa vie ?
Pouvons-nous nous échapper de notre génération ? Est-elle une prison ? Qu’est ce que l’identité personnel, comment la construit-on ?
Quentin LOISEAUX TS1B
Résumé du texte
Il manque le chapeau! Ce résumé est à revoir...
CHAPITRE 2 ET 3:
On peut définir par des attributs, des propriétés ou des caractéristiques.
Quelle caractéristique permet d'identifier une génération?
A l'heure ou les générations se confondent peut ont encore les distinguer.
Une génération est-elle identifiée par des spécialistes?
Une génération est-elle identifiée par la génération précédente, la suivante ou par elle même?
CHAPITRE 4:
Les générations sont-elles obligatoirement en conflit?
N'existe-t-il pas une transmission intergénérationnelle?
Les ainés peuvent-il aider a la construction de la nouvelle génération?
CHAPITRE 5:
Etre d'une génération, est-ce un avantage ou un désavantage?
Soit on s'intègre a sa génération, soit on prend ses distances avec elle.
Notre identité est-elle basée sur une génération ou sur toute l'histoire de l'humanité?
Sélim Kahloon
Loic Prigent
CHAPITRE 2 ET 3:
On peut définir par des attributs, des propriétés ou des caractéristiques.
Quelle caractéristique permet d'identifier une génération?
A l'heure ou les générations se confondent peut ont encore les distinguer.
Une génération est-elle identifiée par des spécialistes?
Une génération est-elle identifiée par la génération précédente, la suivante ou par elle même?
CHAPITRE 4:
Les générations sont-elles obligatoirement en conflit?
N'existe-t-il pas une transmission intergénérationnelle?
Les ainés peuvent-il aider a la construction de la nouvelle génération?
CHAPITRE 5:
Etre d'une génération, est-ce un avantage ou un désavantage?
Soit on s'intègre a sa génération, soit on prend ses distances avec elle.
Notre identité est-elle basée sur une génération ou sur toute l'histoire de l'humanité?
Sélim Kahloon
Loic Prigent
mercredi 30 septembre 2009
Définition du mot Génération
GÉNÉRATION, subst. fém.
A. − 1. Action d'engendrer. Assisté à un cours d'anatomie. Admiré la simplicité grandiose de la nature dans la fécondation et la génération, nulle part plus vénérable (Michelet, Journal, 1856, p. 302) :
1. Le produit de la génération est ou un bourgeon qui se développe en un animal demeurant quelque temps sur le corps dont il provient, et en formant comme une branche ou un fœtus qui se développe dans la matrice de sa mère...
Cuvier, Anat. comp., t. 1, 1805, p. 43.
Cuvier, Anat. comp., t. 1, 1805, p. 43.
− En partic. Reproduction. La génération vivipare, ovipare; la génération asexuée, sexuée. La déesse qui préside à la génération des êtres (Dupuis, Orig. cultes, 1796, p. 356). Les organes de la génération (Cabanis, Rapp. phys. et mor., t. 1, 1808, p. 420) :
2. Pour divers que soit le mode de génération des êtres vivants, il apparaît toujours comme une conséquence de l'accroissement cellulaire.
J. Rostand, La Vie et ses probl., 1939, p. 26.
J. Rostand, La Vie et ses probl., 1939, p. 26.
♦ Génération spontanée. Constitution, formation d'êtres vivants à partir de la matière inerte. C'est Needham qui le premier, au cours de recherches sur la possibilité de la génération spontanée, a songé à utiliser la chaleur pour détruire les germes vivants (Ser, Phys. industr., 1890, p. 448).
2. P. ext. Action par laquelle une chose est produite, se forme; p. méton., le fait ou la manière de se former. La génération des idées (Ac.). L'histoire de la génération de nos connaissances ne peut pas consister uniquement dans l'histoire de nos moyens de connaître (Destutt de Tr., Idéol. 3, 1805, p. 426). Le mode de génération des tempêtes était dès lors entrevu; il est intimement lié au mode de génération des brouillards (Hugo, Travaill. mer, 1866, p. 132) :
3. ... Il [Tridon le Sidonien] méditait la génération des tempêtes et des calmes, la circulation des courants tièdes, et de ces fleuves immiscibles...
Valéry, Eupalinos, 1923, p. 125.
Valéry, Eupalinos, 1923, p. 125.
− GÉOM. Production d'une figure géométrique par une ligne ou un point supposés en mouvement. La génération d'un cylindre (Ac.). Toutes les ellipses peuvent être considérées comme les projections d'un cercle vu en perspective, et qu'en rattachant ainsi (...) la génération des ellipses à celle du cercle, on trouve dans les propriétés du cercle la raison de toutes les propriétés des courbes du genre des ellipses (Cournot, Fond. connaiss., 1851, p. 302).
− LING. Action de générer une phrase.
B. − P. méton.
1. a) Ensemble de ceux qui descendent d'une même origine. Synon. descendance, postérité. La génération de Noé (Ac.).
b) Chaque degré de filiation; laps de temps qui sépare ces degrés de filiation (environ trente ans). Conflit de générations; choc des générations. La reine est une divinité jalouse qui punit les coupables jusqu'à la septième génération (About, Grèce, 1854, p. 341). En l'espace de quatre ou cinq générations (Teilhard de Ch., Phénom. hum., 1955, p. 238) :
4. ... M. de Charlus et Saint-Loup, par des chemins différents, et avec des opinions opposées, étaient devenus, à une génération d'intervalle, des intellectuels que toute idée nouvelle intéresse...
Proust, Temps retr., 1922, p. 762.
Proust, Temps retr., 1922, p. 762.
♦ De génération en génération. De père en fils. [Ils] ont perdu la foi, ne pratiquent pas les rites prescrits et sont athées de génération en génération depuis les tailleurs de pierres venus d'Espagne (Cendrars, Bourlinguer, 1948, p. 79).
− P. anal. Si l'on considère maintenant une masse d'uranium 235 pur, la fission d'un noyau par un neutron en fournit au moins deux autres qui, à leur tour, vont servir d'amorce pour la rupture de deux noyaux, libérant cette fois quatre neutrons à la seconde génération, huit à la troisième, mille à la dixième, un milliard à la trentième (Goldschmidt, Avent. atom., 1962, p. 30).
− En partic. Chacune des phases successives qui marquent un changement important dans une technique en évolution; p. méton., ensemble des appareils, équipements, machines, etc. utilisant la même technologie (d'apr. Gilb. 1971). Première, deuxième, troisième génération d'ordinateurs (cf. Le Garff 1975). Le cinéma d'animation de la 2e génération; le rock de la 3e génération (L'Express, 2 oct. 1972, p. 102, col. 1). Une nouvelle génération d'éléments automoteurs doit entrer en service à la fin de 1972 (La Vie du Rail, 9 avr. 1972, p. 6, col. 1).
2. Ensemble de ceux qui vivent à une même époque et qui ont sensiblement le même âge. La génération montante. Il y avait un ton de génération à génération cadette (Giraudoux, Bella, 1926, p. 55). Les hommes de la génération finissante, dont la vieillesse avait enjambé la guerre, trouvaient pourtant que Paris déclinait avec eux (Druon, Gdes fam., t. 1, 1948, p. 25) :
5. Aujourd'hui, je vais voir mon oncle de Courmont. Il nous dit : « Oui, j'ai été assez malade... » Je me disais : « Est-ce que le vieux bonhomme va claquer? » et il dit cela avec un rire naturel. Voilà la philosophie de la génération de 1789.
Goncourt, Journal, 1865, p. 147.
Goncourt, Journal, 1865, p. 147.
SYNT. Nouvelle, jeune, dernière génération; les gens, les hommes de ma génération; la génération à laquelle j'appartiens.
Prononc. et Orth. : [ʒeneʀasjɔ̃]. Ds. Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1. 1re moitié xiie s. generatiun « ensemble de ceux qui vivent à la même époque » (Psautier Oxford, éd. Fr. Michel, LX, 6); 2. fin xiie s. « procréation, fonction par laquelle les êtres se reproduisent » (Sermons St Bernard, éd. W. Fœrster, VII, 35); 1752 spéc. géom. (Trév. : Génération de la cycloïde ... Génération du cône); 3. 1966 ling. (B. Grunig, Les Théories transformationnelles ds Linguistique, t. 1, 1966, p. 34 : la génération des langages). Empr. au lat. generatio « engendrement, reproduction », spéc. « descendance » en lat. chrét.; au sens 3 empr. à l'angl. generation terme de ling. (1959 ds NED Suppl.2) de même orig. que le français. Fréq. abs. littér. : 4 039. Fréq. rel. littér. : xixe s. : a) 7 260, b) 3 985; xxe s. : a) 5 484, b) 5547. Bbg. Merk (G.). L'Étymol. de race. Trav. Ling. Litt. Strasbourg. 1969, t. 7, no 1, pp. 177-188. - Peyre (H.). Les Générations littér. Paris, 1948, 266 p.
Raccourci définition :
1. La reproduction ou la production.
2. La descendance.
3. Le degré de filiation (degré dans une lignée ou un produit).
4. Laps de temps qui sépare les degrés.
5. Ensemble des individus nés à une même époque , à la même période , au même moment.
Marc Beraut TS1B
mardi 29 septembre 2009
Résumé du texte "Problématique" du B.O.
Le premier terme étant problématique cela signifie une réponse qui induit des réponses contradictoire.
Génération, ce termes est présent partout mais il ne définie pas toujours la même chose. Il y a de nombreuses générations telles que génération grand bleu génération du baby boom. Les principales questions que l’on peut se posé pour pouvoir comprendre les termes sont nombreuses.
Comment peut-on identifier une génération ? Comment définir une génération ? Les réponses sont propre a chaque génération mais de nos temps est ce que c’est question sont encore d’actualité ?
Qui définit une génération ? Nous sommes nombreux a définir les générations mais quelle point de vue est t’il vraiment valable ? Entre historiens sociologues publicitaire ou même nous pour nous démarquer qui peut vraiment l’affirmer ?
Comment définir les liens entre les générations ? Ces liens on t’il évoluer au fils du temps ou sont t’il rester inchangé ? peut-on construire une génération ou encore des liens de transmission ?
Comment se situe t on par rapport a sa propre génération ? Somme nous obligé d’appartenir a une génération ? Peut on se mettre appart ne pas appartenir a une génération être en retrait ?
Sélim Kahloon
Loïc prigent
jeudi 3 septembre 2009
Explication de la problématique
Problématique? Mais que veut dire ce mot? Vous l'avez surement croisé dans différentes matières telles que histoire-géo, philosophie, français... Mais sauriez vous l'expliquer? Bien que cela paraisse désespérant, ne craignez rien le mot problématique ne pose plus de problème une fois expliqué. C'est une question dont la réponse n'est pas évidente par exemple : Le désir fait il toujours souffrir? Peut on être sur d'avoir raison? l'Amour existe t-il? Soit OUI soit NON mais pas les deux sinon ce serait contradictoire Mais nous ne connaissons pas la réponse a priori.
thème de l'année
Le nouveau thème apparu cette année est : Génération.
Voici la problématique proposée par le B.O. (Bulletin Officiel) :
Problématique :
« Génération grand bleu », « génération du baby boom », « nouvelle génération » ..., le terme « génération » parcourt les ondes, les articles de presse, les slogans publicitaires et politiques, où il est décliné sous toutes les formes.
Qu'est-ce qui définit une génération ? Une année de naissance, l'air du temps, un événement majeur ou marquant de l'Histoire, le partage de goûts, de modes, de références, de façons de parler ? Au temps du brouillage générationnel, quand s'estompent les frontières entre les âges, au temps des familles recomposées où les générations les plus diverses se côtoient, dans quelle mesure une tranche d'âge possède-t-elle encore des traits identitaires qui n'appartiennent qu'à elle ?
Qui définit une génération ? Les biologistes, les historiens, les sociologues, voire les publicitaires pour en faire un argument de vente ? Ou la génération qui précède pour parler de celle qui suit, pour la critiquer souvent parce qu'elle ne lui ressemble pas dans ses goûts, dans ses valeurs, dans ses engagements ? Ou la génération concernée pour se démarquer de celle qui la précède, et se définir dans l'immédiateté comme une génération particulière ? Ou les générations suivantes, quand la distance et la nostalgie entraînent la construction, après coup, du mythe d'une génération ?
Comment définir les liens entre les générations ? Les liens intergénérationnels s'inventent-ils de façon particulière aujourd'hui ? Les relations entre générations sont-elles nécessairement de l'ordre de l'opposition et du conflit ? N'y a-t-il pas aussi des liens de transmission, un souci de la génération qui suit à laquelle on a le devoir de transmettre un patrimoine, une histoire, une culture, une société bien organisée, un environnement bénéfique ? N'y a-t-il pas aussi des liens d'héritage, quand la mémoire, voire la faute des générations précédentes influe sur la vie des descendants ? Peut-on participer volontairement à la construction d'une nouvelle génération ?
Comment se situe-t-on par rapport à sa propre génération ? Y a-t-il une fatalité de la génération à laquelle on n'échapperait pas ? L'appartenance à une génération est-elle un confort ou un carcan ? Se sent-on appartenir à sa génération, ou bien préfère-t-on se marginaliser, sur un mode ludique, ironique ou sérieux ? Qu'est-ce qui relève de l'individuel et du collectif dans l'identité d'une personne ? L'identité individuelle se construit-elle par rapport à sa génération, la génération de ses parents, une civilisation chargée d'une histoire longue de deux à trois mille ans ?
Indications bibliographiques : Ces indications ne constituent en aucun cas un programme de lectures. Elles constituent des pistes et des suggestions pour permettre à chaque enseignant de s’orienter dans la réflexion sur le thème et d’élaborer son projet pédagogique.
Littérature :
− William Shakespeare, Le Roi Lear (1608)− Pierre Corneille, Horace (1640)− Molière, Les Fourberies de Scapin (1671), L'École des femmes (1662)− Alfred de Musset, La Confession d'un enfant du siècle (1836) (première partie, chapitres 1 et 2)− Jules Vallès, Le Bachelier (1879)− Roger Vitrac, Victor ou les enfants au pouvoir (1929)− François Mauriac, Le Nœud de vipères (1933)− Aimé Césaire, Cahier d'un retour au pays natal (1939)− Driss Chraïbi, Succession ouverte (1962), La Civilisation, ma mère (1972)− Dino Buzzati, « Chasseurs de vieux » (Le K, 1966)− Annie Ernaux, La Place (1984)− Toni Morrison, Beloved (1987)− Bernard-Marie Koltès, Le Retour au désert (1988)− Roy Lewis, Pourquoi j'ai mangé mon père (1998)− Philip Roth, La Pastorale américaine (1999)− Laurent Gaudé, La mort du roi Tsongor (2002)− Sylvie Germain, Magnus (2005).− G. Brassens, « Le Boulevard du temps qui passe »− J. Brel, « Les Bourgeois »− Simple Plan, « Generation »− The Who, « My generation ».
Essais :
− S. Freud, Totem et tabou, 1913− K. Mannheim, Le Problème des générations, 1928− R. Barthes, Mythologies, 1957− P. Bourdieu, La Misère du monde, 1993, dont « Paysans Aveyronnais », « L'Émancipation », et « La Malédiction »− A. Dister, La Beat generation, la révolution hallucinée, « Découvertes », Gallimard, 1997− C. Attias-Donfut, Sociologie des générations : l'empreinte du temps, PUF, 1988 ; Les Solidarités entre générations. Vieillesse, familles, État, Nathan, 1999− C. Baudelot et R. Establet, Avoir 30 ans en 1968 et en 1998, collection « L'épreuve des faits », Le Seuil 2000− B. Préel, Le Choc des générations , La Découverte, 2000− F. de Singly, Libres ensemble : l'individualisme dans la vie commune, Pocket, 2003− F. Cusset, La Décennie ou le grand cauchemar des années 80, La Découverte, « Cahiers libres », 2006− « Famille et société, les solidarités entre générations », ministère de la Santé, La Documentation française, 2006− Revue « Sciences humaines », hors série n° 4, sept-nov 2006, « Une société face à sa jeunesse » et n° 193, mai 2008, « Qui sommes-nous ? les âges de la vie bouleversés ».
Films, documents iconographiques, bandes dessinées :
− « De l'autre côté », F. Akin, 2007− « Les invasions barbares », D. Arcand, 2003− « Good bye Lénin ! », W. Becker, 2003− « Tanguy », E. Chatilliez, 2001− « La vie moderne », R. Depardon, 2008− « La graine et le mulet », A. Kechiche, 2007− « Persépolis », M. Satrapi et V. Paronnaud, 2007− « Paranoïd Park », G. Van Sant, 2007− « Les Témoins », A. Téchiné, 2007− « Les Plages d'Agnès », A. Varda, 2008.
− David, « Le serment des Horaces », 1784− Goya, « Saturne dévorant un de ses enfants » (1820-1823)− Gainsborough, « La famille Gravenor » (1754)− Greuze, « Le fils ingrat » (1777), « Le fils puni » (1778)− Frans Hals, « Famille dans un paysage » (1630-1635)− Louis Le Nain, « La famille heureuse ou le retour du baptême » (1642)− Michel-Ange, « Plafond de la chapelle Sixtine », « La création de l'homme » (1508-1512)− Winterhalter, « La famille de la reine Victoria » (1846).
− Robert Capa, « Mort d'un Républicain »,1936− Gilles Caron, « Daniel Cohn-Bendit », 1968− Walker Evans, « Bud Fields et sa famille en Alabama », 1935− Stuart Franklin, « Place Tien An Men », 1989− Korda, « Che Guevara », 1960− Thomas Struth, « The Smith family », 1989.
− Claire Brétécher, « Agrippine et l'ancêtre » (2007)− Lauzier, « Souvenirs d'un jeune homme » (1983)− Wolinski, « Sales Gosses » (1999).
Sites et documents internet, médias :
− INAG (l'Institut universitaire Âges et générations) − François de Singly : « Famille, première et deuxième modernité », U.T.L.S.− « France : la nouvelle génération » (Revue en ligne : « Label France » : n° 51 (2003) .− « Conflits de générations ? » Retraite et société n° 35 (2002), numéro en ligne ou à la Documentation française.− Le rôle des grands-parents « Les maternelles » de France 5).− « Un jour une photo : les années hippies », Paris Première en association avec Paris Match, émission hebdomadaire à partir de janvier 2009.
Mots clés :
Avenir - projet - passé - mémoire - souvenirs - histoire - musée - archives départementalesTransmission - succession - héritage - dette - tradition - filiationCompagnonnage - société - collectivité - communautéConflit de générations - continuité - rupture - amour paternel - amour filial - crise d'adolescenceAncêtre - descendant - hérédité - généalogie - famille - famille recomposéeHistoire individuelle - histoire collective - intégration - inconscient collectifModes - codes - références culturelles - film culte, chanson culte, livre culte, objet culte - lectures et relectures.
Voici la problématique proposée par le B.O. (Bulletin Officiel) :
Problématique :
« Génération grand bleu », « génération du baby boom », « nouvelle génération » ..., le terme « génération » parcourt les ondes, les articles de presse, les slogans publicitaires et politiques, où il est décliné sous toutes les formes.
Qu'est-ce qui définit une génération ? Une année de naissance, l'air du temps, un événement majeur ou marquant de l'Histoire, le partage de goûts, de modes, de références, de façons de parler ? Au temps du brouillage générationnel, quand s'estompent les frontières entre les âges, au temps des familles recomposées où les générations les plus diverses se côtoient, dans quelle mesure une tranche d'âge possède-t-elle encore des traits identitaires qui n'appartiennent qu'à elle ?
Qui définit une génération ? Les biologistes, les historiens, les sociologues, voire les publicitaires pour en faire un argument de vente ? Ou la génération qui précède pour parler de celle qui suit, pour la critiquer souvent parce qu'elle ne lui ressemble pas dans ses goûts, dans ses valeurs, dans ses engagements ? Ou la génération concernée pour se démarquer de celle qui la précède, et se définir dans l'immédiateté comme une génération particulière ? Ou les générations suivantes, quand la distance et la nostalgie entraînent la construction, après coup, du mythe d'une génération ?
Comment définir les liens entre les générations ? Les liens intergénérationnels s'inventent-ils de façon particulière aujourd'hui ? Les relations entre générations sont-elles nécessairement de l'ordre de l'opposition et du conflit ? N'y a-t-il pas aussi des liens de transmission, un souci de la génération qui suit à laquelle on a le devoir de transmettre un patrimoine, une histoire, une culture, une société bien organisée, un environnement bénéfique ? N'y a-t-il pas aussi des liens d'héritage, quand la mémoire, voire la faute des générations précédentes influe sur la vie des descendants ? Peut-on participer volontairement à la construction d'une nouvelle génération ?
Comment se situe-t-on par rapport à sa propre génération ? Y a-t-il une fatalité de la génération à laquelle on n'échapperait pas ? L'appartenance à une génération est-elle un confort ou un carcan ? Se sent-on appartenir à sa génération, ou bien préfère-t-on se marginaliser, sur un mode ludique, ironique ou sérieux ? Qu'est-ce qui relève de l'individuel et du collectif dans l'identité d'une personne ? L'identité individuelle se construit-elle par rapport à sa génération, la génération de ses parents, une civilisation chargée d'une histoire longue de deux à trois mille ans ?
Indications bibliographiques : Ces indications ne constituent en aucun cas un programme de lectures. Elles constituent des pistes et des suggestions pour permettre à chaque enseignant de s’orienter dans la réflexion sur le thème et d’élaborer son projet pédagogique.
Littérature :
− William Shakespeare, Le Roi Lear (1608)− Pierre Corneille, Horace (1640)− Molière, Les Fourberies de Scapin (1671), L'École des femmes (1662)− Alfred de Musset, La Confession d'un enfant du siècle (1836) (première partie, chapitres 1 et 2)− Jules Vallès, Le Bachelier (1879)− Roger Vitrac, Victor ou les enfants au pouvoir (1929)− François Mauriac, Le Nœud de vipères (1933)− Aimé Césaire, Cahier d'un retour au pays natal (1939)− Driss Chraïbi, Succession ouverte (1962), La Civilisation, ma mère (1972)− Dino Buzzati, « Chasseurs de vieux » (Le K, 1966)− Annie Ernaux, La Place (1984)− Toni Morrison, Beloved (1987)− Bernard-Marie Koltès, Le Retour au désert (1988)− Roy Lewis, Pourquoi j'ai mangé mon père (1998)− Philip Roth, La Pastorale américaine (1999)− Laurent Gaudé, La mort du roi Tsongor (2002)− Sylvie Germain, Magnus (2005).− G. Brassens, « Le Boulevard du temps qui passe »− J. Brel, « Les Bourgeois »− Simple Plan, « Generation »− The Who, « My generation ».
Essais :
− S. Freud, Totem et tabou, 1913− K. Mannheim, Le Problème des générations, 1928− R. Barthes, Mythologies, 1957− P. Bourdieu, La Misère du monde, 1993, dont « Paysans Aveyronnais », « L'Émancipation », et « La Malédiction »− A. Dister, La Beat generation, la révolution hallucinée, « Découvertes », Gallimard, 1997− C. Attias-Donfut, Sociologie des générations : l'empreinte du temps, PUF, 1988 ; Les Solidarités entre générations. Vieillesse, familles, État, Nathan, 1999− C. Baudelot et R. Establet, Avoir 30 ans en 1968 et en 1998, collection « L'épreuve des faits », Le Seuil 2000− B. Préel, Le Choc des générations , La Découverte, 2000− F. de Singly, Libres ensemble : l'individualisme dans la vie commune, Pocket, 2003− F. Cusset, La Décennie ou le grand cauchemar des années 80, La Découverte, « Cahiers libres », 2006− « Famille et société, les solidarités entre générations », ministère de la Santé, La Documentation française, 2006− Revue « Sciences humaines », hors série n° 4, sept-nov 2006, « Une société face à sa jeunesse » et n° 193, mai 2008, « Qui sommes-nous ? les âges de la vie bouleversés ».
Films, documents iconographiques, bandes dessinées :
− David, « Le serment des Horaces », 1784− Goya, « Saturne dévorant un de ses enfants » (1820-1823)− Gainsborough, « La famille Gravenor » (1754)− Greuze, « Le fils ingrat » (1777), « Le fils puni » (1778)− Frans Hals, « Famille dans un paysage » (1630-1635)− Louis Le Nain, « La famille heureuse ou le retour du baptême » (1642)− Michel-Ange, « Plafond de la chapelle Sixtine », « La création de l'homme » (1508-1512)− Winterhalter, « La famille de la reine Victoria » (1846).
− Robert Capa, « Mort d'un Républicain »,1936− Gilles Caron, « Daniel Cohn-Bendit », 1968− Walker Evans, « Bud Fields et sa famille en Alabama », 1935− Stuart Franklin, « Place Tien An Men », 1989− Korda, « Che Guevara », 1960− Thomas Struth, « The Smith family », 1989.
− Claire Brétécher, « Agrippine et l'ancêtre » (2007)− Lauzier, « Souvenirs d'un jeune homme » (1983)− Wolinski, « Sales Gosses » (1999).
Sites et documents internet, médias :
− INAG (l'Institut universitaire Âges et générations) − François de Singly : « Famille, première et deuxième modernité », U.T.L.S.− « France : la nouvelle génération » (Revue en ligne : « Label France » : n° 51 (2003) .− « Conflits de générations ? » Retraite et société n° 35 (2002), numéro en ligne ou à la Documentation française.− Le rôle des grands-parents « Les maternelles » de France 5).− « Un jour une photo : les années hippies », Paris Première en association avec Paris Match, émission hebdomadaire à partir de janvier 2009.
Mots clés :
Avenir - projet - passé - mémoire - souvenirs - histoire - musée - archives départementalesTransmission - succession - héritage - dette - tradition - filiationCompagnonnage - société - collectivité - communautéConflit de générations - continuité - rupture - amour paternel - amour filial - crise d'adolescenceAncêtre - descendant - hérédité - généalogie - famille - famille recomposéeHistoire individuelle - histoire collective - intégration - inconscient collectifModes - codes - références culturelles - film culte, chanson culte, livre culte, objet culte - lectures et relectures.
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